Le rêve d’un business libre et aligné… ou presque
J’ai vécu un vide intérieur et entrepreneurial profond que j’ai alimenté moi-même depuis des fréquences énergétiques et émotionnelles basses.
Avant d’en arriver à pourquoi je me suis sentie honteuse et que j’ai ressenti de la culpabilité, petit retour en arrière sur mon parcours entrepreneurial.
Je me suis lancée dans l’entrepreneuriat en ligne en 2018 avec une idée : aider les personnes de ma génération à donner du sens à leur vie. Cela faisait déjà deux ans que j’étudiais le business en ligne avec mon Papa qui m’a ouvert ce chemin-là.
À cette période, le discours marketing s’attachait à trois éléments :
- Travaille d’où tu veux, quand tu veux (depuis une île, sur la plage avec ton ordi sur le ventre)
- Travaille 4 heures par jour… ou par semaine (coucou Tim Ferriss)
- Crée de l’argent facilement et rapidement grâce à internet
C’est ce rêve qui m’a permis de quitter un job confortable dans le commerce international. Mais il y a plusieurs facteurs qui vont nourrir mon vide intérieur quelques années plus tard en générant un sentiment profond de honte et de culpabilité.
Les premières fissures : quand le mental prend le dessus
À cette époque :
- J’avais un mental très fort notamment conditionné par mes études en sciences politiques au travers desquelles j’ai cru que je devais tout rationaliser.
- Le marketing de l’ancien monde enseigné me mettait mal à l’aise. Mon autorité sacrale me disait que ce n’était pas pour moi, mais je n’étais pas capable de le comprendre à ce moment-là.
- Je croyais que la réussite devait être rapide, sinon je n’étais "pas une bonne entrepreneure" et surtout je ne pouvais pas échouer, sinon quelle image allais-je donner ?
Puis, j’ai rencontré les "business énergétiques". Ils sont venus confirmer mon intuition qu’il y avait une autre manière d’entreprendre ancrée dans l’énergie féminine. Mais là encore… je me suis conditionnée à nouveau. Je croyais devoir adopter leur manière de faire pour que mon business fonctionne.
Que nenni.
La spirale descendante : honte, culpabilité et vide
Je ne blâme pas ces business. Chaque chemin est unique. Mais moi, j’étais tiraillée entre mon mental qui voulait le connu et mon âme qui appelait l’inconnu. Je naviguais constamment entre les deux sans trouver le juste milieu.
Durant mes six premières années d’entrepreneuriat :
- J’ai utilisé de l’argent issu de mon ancien job et de l’héritage de mon Papa.
- J’ai investi dans des formations, du coaching… sans vraiment essayer de faire fonctionner mon entreprise avec le fantasme que l’argent rentrerait. Une coach me fera un jour réaliser : "tu essayes sans réellement essayer."
Et là… la honte et la culpabilité s’installent petit à petit profondément.
Honte
- La honte de ne pas réussir selon les critères que je m’étais imposés
- La honte de ne plus avoir d’argent et de devoir l’avouer
- La peur de vendre du rêve alors que je doutais de ma propre légitimité en tant qu’accompagnante pour entrepreneure.
Culpabilité
- De vivre ma meilleure vie avec de l’argent à volonté quand d’autres trimaient pour en avoir
- De ne pas avoir "rentabilisé" mes investissements ou de ne pas avoir investi à faire fructifier l’argent sur mes comptes.
- D’avoir utilisé l’argent de mon Papa, argent qu’il n’a pas pu utiliser, car il est décédé peu après sa retraite et qu’il a lui même trimé pour le créer.
Je m’étais enfermée dans une spirale de conditionnements et de croyances ancrées dans des énergies basses, nourrissant mon vide intérieur et entrepreneurial.
L’illusion de l’effort et la déconnexion
Je continuais d’essayer… sans vraiment essayer.
Je me sentais motivée quelques jours, puis le soufflé retombait.
- Je ne savais pas comment me positionner dans mon business.
- Je me sentais illégitime et nulle.
- Je me cachais derrière la peur de coacher, pensant ne pas savoir faire (malgré mes formations).
Tout en moi vibrait le manque, la peur, l’impossibilité.
Et pourtant… je voulais l’inconnu. Je l’appelais. Mais je n’étais pas prête à m’y abandonner. Je résistais.
Le basculement : un chemin d’ancrage et de conscience
Puis, le shift. Pas en un claquement de doigts.
Mais petit à petit. À mon rythme.
Toutes les formations et coachings que j’ai suivis n’étaient pas à jeter. Ceux dans lesquels j’ai investi depuis mon autorité sacrale (pour la plupart sans le savoir) m’ont permis d’ancrer le changement en profondeur.
J’ai compris que moi seule avais le pouvoir de choisir la fréquence dans laquelle je vibrais.
Je pouvais :
- Rester dans les fréquences basses de la peur et du manque
- Ou m’ouvrir au champ des possibles en me connectant à la foi et à la confiance en la Vie, l’Univers… par un entrainement quotidien de croire d’abord aux possibles avant de les voir se matérialiser.
Voici ce que j’ai intégré profondément :
- Je suis toujours soutenue de toutes les manières possibles et inimaginables. Par exemple, quand mes comptes étaient à zéro, je n’étais pas seule. Mes proches étaient à mes côtés et j’ai dû apprendre à recevoir leur soutien et à me détacher de la croyance que je neméritais pas toutes les formes d’amour qu’ils m’offraient.
- Je n’ai pas à tout faire seule. Je déconditionne des schémas patriarcaux. Mon mari peut me soutenir et qui ne dit pas qu’un jour ce sera l’inverse ?
- La Vie est abondante. Nous avons déjà toutes les ressources en nous et la vie est faite pour être abondante.
- Mon parcours a du sens. Tout ce chemin m’a enseigné ce que je suis venue incarner et transmettre.
- Le succès viendra. Mais je ne contrôle ni le "quand" ni le "comment". C’est mon essence et mon intuition à travers mon corps qui guident.
Ma voie se révèle, à mon rythme
Je n’ai certainement pas encore reçu tous les cadeaux de cette période de vide intérieur et entrepreneurial.
Mais si je l’ai vécue, c’est pour une raison. Non dictée par mon mental, mais révélée par l’expérience.
Aujourd’hui, je suis capable d’être un pont solide pour d’autres entrepreneur·es du Nouveau Monde qui traversent une forme de vide.
J’ai reçu tant de clarté sur ce que je suis venue soutenir… parce que j’ai lâché prise.
Parce que je suis revenue à mon corps, à mon intuition, à mes ressentis, à mon âme.
Et depuis là :
- Mon business modèle est arrivé
- La joie est revenue
- L’élan créatif est revenu selon ses propres cycles que j’apprends à accueillir et non plus à forcer.
Je devais passer par là pour connecter à ma manière propre de faire du business, de créer, de transmettre, de générer de l’argent.
Ta première étape : ton compagnon du vide
La réussite n’est pas un gage de légitimité.
Ta légitimité vient simplement de ton être, pas de ce que tu fais.
C’est sur ce chemin que j’accompagne aujourd’hui les entrepreneur·es du Nouveau Monde à revenir à leurs Ressources issues de leur âme.
Et aujourd’hui, je t’offre une première étape :
Ton compagnon du vide
Un jeu de 24 cartes personnalisées, basé sur ton Human Design.
Tu y trouveras :
- Des questions
- Des rappels
- Des contemplations
Des messages de ton corps et de ton âme.
Tu peux imprimer et colorier ces cartes pour te reconnecter à tes mains, sortir de ta tête, et traverser le vide autrement.
Pour y accéder, tu peux cliquer sur le bouton ci-dessous et renseigner ta date, heure et lieu de naissance.
Tu pourras directement au téléchargement de ton livret-jeu.
Et ensuite…
La suite de ce chemin se révélera quand ce sera le bon moment.
À mon rythme, au rythme de l'Univers.
Parce que le succès ne peut être normé.
Il a son propre timing, pour chacun·e d’entre nous.
Et nous n’avons aucun contrôle sur sa forme.